69) Choix : la liberté

Que c’est bon de respirer à plein poumon.

A la maison la colocation est invivable. Il me menace chaque jour de me tuer, sa gueule toute la journée.

Mes deux filles aînées, viendront me voir en me disant :

Maman, il faut, qu’on s’en aille.

Je me mettrais donc à chercher un appartement.

Pendant un mois, il m’empêchera de dormir la nuit, il voudra parler, parler, se victimiser, je passerais des nuits à ne plus dormir, je m’enfermerais des heures dans ma salle de bain chaque jour. La nuit parfois quand je dors, je l’entends qui rentre dans la chambre pour me regarder. Et s’il recommençait une nuit à vouloir me tuer ? Je demanderais à ma petite sœur de dormir avec moi. Toute les nuits, je serais prises de cauchemars, je perdrais près de 5 kg.

Je m’occupe de mes enfants et le matin je vais chez une amie, j’y passe des heures à boire le café. Une fois quand je rentre, je suis en pyjama, t j’irais à la douche, il m’accusera d’aller me faire sauter chez mon amie. Espèce d’idiot qu’il est.

Je discute de plus en plus avec punisher, il est mature et il a des valeurs que j’aime beaucoup. Je me laisserais attendrir, une attirance se créera. Il a 50 ans, sa photo, un brun aux yeux marrons et doré. Il est pas vilain. Puis il est gentil. On se rencontrera, sacré surprise. Il est vieux, cheveux blancs et il a 57 ans. Peu importe, une relation en m’engage pas à un mariage. Essayons l’expérience.

Je trouve un appartement, dans un village non loin de la où je vis. Le 5 mars, je prendrais juste mes valises, celles des filles, ma voiture et je partirais.

Je lui laisse tout, le compromis est qu’il vende la maison et qu’il garde l’argent. Je ne veux rien, ni pension alimentaire. La conciliation du divorce sera prononcé mais je devrais attendre la vente de la maison pour finaliser le divorce.

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