44) Choix : la famille

La famille d’abord

Nouvelle année 2013, mon nouveau né a un souci de santé, il a 15 jours, sa respiration est très bizarre, je soupçonne un asthme. Je connais bien cette maladie, je suis moi même asthmatique. Nous sommes le soir, je décide d’aller à l’hôpital, je n’ai pas de célestène pour la soulager. J’arrive là bas, je tombe sur interne arrogant. Il regarde mon bébé, me dira simplement, il a une bronchite. Je lui tiens tête, et je lui explique que je ne partirais pas d’ici tant qu’il aura pas donner un corticoide à mon bébé. Il me prend pour une débile et m’explique la maladie de l’asthme. Je le laisse parler quand il a eu fini, je ris. Il me regarde étrangement. Je lui affirme que je suis moi même asthmatique depuis bébé et que je souhaite, qu’il donne du célestène à mon bébé. On a une sacré discussion mais je ne lâche rien, je sais ce qu’à mon bébé. Il cédera, il m’amenera un biberon et du célestène, je lui donne devant ses yeux. En 10 minutes, mon bébé respire mieux. Il est comme un con, et me dit qu’effectivement, il est possible que cela soit un asthme du nourrison. Je prends mon bébé, l’ordonnance et je m’en vais sans un mot. A partir du lendemain, mon bébé aura des séances des kinés.

L’aîné fait le con au collège, il se fera exclure de l’établissement pour coup et blessures. Son père frappera son fils et lui felera 2 cotes. Je lui dis d’arrêter il va trop loin. Les motifs de sont exclusions étaient confus. Il y avait eu des mots déplacés. Le garçon avait insulté, les sœurs de mon aîné, et oui j’ai 3 filles. Mon aîné a donc porté le premier coup, il est très protecteur envers ses sœurs. Il donne ses arguments mais apparemment, une parent d’élève aurait entendu en pleine récréation les insultes provenant de mon enfant. Le garçon qui avait pris les coups était un rugbyman qui faisait deux têtes de plus que le mien. Nous sommes convoqués au conseil de discipline. Je me présente avec mon copain. Il ne dira rien. Tout les professeurs sont là ainsi que la parent d’élève. Tous explique leur version, j’écoute. Je sais que mon aîné est pas un ange. Je justifie son comportement par de mauvaises fréquentations, je suis la seule à parler, leur décision est prise de toute façon. Je finirais par regarder la parent d’élève et je lui demande si, elle a une ouïe infuse. Elle me regarde bizarre, je m’énerve, je sais qu’elle connaît la famille du garçon qui a pris les coups. J’explique donc comment derrière un double vitrage en pleine récréation , elle a pu entendre si oui ou non, il y a eu des insultes de la part de mon aîné. Elle se tait. Je repose ma question. Elle est très gênée. Je demande à voir les parents de la victime pour commencer par présenter des excuses. On me le refuse. Et je finirais en expliquant, que si un rugbyman est traumatisé par un coup au collège, comment va t’il faire au rugby, que leur histoire est exagérée et certains points ne tiennent pas la route. Certains professeurs se raviseront de leur choix mais ils ne sont qu’une minorité.

Après plusieurs séances de kine, mon copain reprendra le travail. Mais cela l’ennui, car il ne peut aller jouer à la pétanque et les bonnes habitudes concernant ses cigarettes, le linge, les enfants reprendront. Je dois fermer mon entreprise, je n’ai plus le temps de rien entre tout mon petit monde. Je dois d’abord m’occuper de ma famille avant moi.

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